Oïkos

Date de soumission 11 décembre 2020 Fondateurs Martin Brault Lieu de développement France

Le projet en détails

NB : cette fiche est intégralement remplie par les personnes proposant l’innovation.

Quel est le problème résolu ?

L’agriculture est responsable de 25% des émission de GHS, l'intensité des système productif a détruit ⅓ des terres agricoles et plus de 50% de la biodiversité mondial qui est un des piliers de la résilience climatique. Des solutions existent, selon les experts scientifiques, l'agro-écologie est la manière la moins coûteuse et ayant le plus d'impact systémique sur le climat. Malgré cela, ces modes de productions restent trop marginalisés et ne sont pas bien intégrés dans le système alimentaire globalisé. Mais aujourd'hui, mis à part leur morale, les producteurs n'ont pas d'incitation à modifier leurs modes de productions, de distribution et de consommations. Il est donc primordial d'accompagner ces changements de paradigmes, grâce un protocole qui permet le changement d'échelle. Le sol a la capacité physique de stocker les émissions de GES, il est donc nécéssaire de créer une infrastructure de coopération globale pour inclure ses systèmes et les faire fleurir.

Comment est-il résolu ?

Oikos est une coopérative digitale qui met en relation directe sans intermédiaire un producteur avec un consommateur. La plateforme collecte toutes les données de productions et de distribution et les intègre à des algorithmes créés en collaboration avec les connaissances scientifiques et les ODD. La validation est faite par un réseau de Peer to peer. Oïkos est une plateforme qui met en relation directe un producteur avec un consommateur de cette ressource. Cette plateforme est gérée par des algorithmes qui grâce aux données de production et de distribution calcule l'impact environnemental de la chaîne d'approvisionnement. Cette jauge d'impact permet à chaque parties prenantes d'avoir plus d'informations sur le produit consommé, mais aussi d'apporter de la transparence. Limiter les intermédiaires permet aussi de réduire les coûts économiques et environnementaux, aussi d'assurer plus de sécurité alimentaire et d'augmenter la durabilité du produit. Cette jauge permet de récompenser les producteurs et consommateurs dans leur choix grâce à une monnaie alternative. Que des avantages : privilégier les méthodes de culture et d'élevage douces et respectueuses de l'environnement, mettre en avant l'économie circulaire et le consommer local. Par le biais de l'application, les sols sont préservés, les producteurs justement rémunérés et les consommateurs peuvent prendre soin de leur santé.

Qui sont les clients potentiels ?

Aux agriculteurs, aux transformateurs (artisans, restaurateurs) et aux consommateurs finaux

En quoi cette solution est-elle différente ?

Sur le plan technologique et sociale: - Des algorithmes évaluateur d'impact et une monnaie qui récompense et oriente les comportement de production et de consommation. - Intégrer toute la supply chain en une même plateforme, tout en concentrant les données peut permettre d'améliorer tout la logistique de production et de distribution, la bureaucratie, la transparence et la sécurité alimentaire en utilisant la blockchain et des IA. - Un protocole dont l’axe majeur est la baisse des émissions de gaz à effet de serre et la protection de la biodiversité. - Une monnaie en lien au protocole, pour inciter financièrement chaque acteur dans la transition écologique et sociale. - Une application autonome décentralisée (DAO), qui permet de mettre en place une gouvernance inclusive transparente pour coopérer sur un problème global. Sur le plan financier, comment fonctionne un protocole émetteur de monnaie: - Plus le nombre d'utilisateur est élevé, plus la monnaie s'apprécie. Utilisation des datas, capitalisation des données, toutes les données collectées seront valorisé pour rendre les chaîne de production et de distribution plus efficaces et moins polluantes - Un micro système financier interne à la plateforme pour De plus, L'idée est de capitaliser sur les données pour rendre toutes les chaînes de production et de distribution plus efficaces et moins émettrices de GES. Ces données seront en open source, mais un département conseil peut être créé. Cette plateforme serait sous la forme d'une application autonome décentralisée, ce qui permettrait d'être géré par les utilisateurs ainsi dans le cadre d'un protocole scientifique, avec pour seul but d'être un marché de bien commun. Il s'agit de créer un cadre de développement applicable à n'importe quelle localité, principalement dans les pays développés, où chaque producteurs désirant augmenter ses bénéfices puisse venir avec ses clients. ### Plusieurs retour sur la consommation énergétique d'un tels technologie (blockchain, Machine learning) oui le Bitcoin est un fort consommateur d'énergie. Mais ce qu'il faut savoir, le Bitcoin est un protocol qui a plus de 10 ans, qui nécessite une quantité énorme de serveur pour fonctionner et être sécuriser, ce qui ne serait pas autant le cas pour un protocol comme ce lui que je propose car il n'a pas vocation a faire ce que btc fait et peut fonctionner avec des machine bien moins énergivore en PoS sur un écosystème déjà très riche et sécurité ERC20. ###